J'avais occupé ma mâtiné pour chasser pour mon Clan. (Clan du Tonnerre) J'en suis ressortis avec seulement deux écureuils. J'espère que ça suffira pour nourrir les chatons et quelques reines. Mais bon, je pense que vu que c'est l'été, le gibier sera plus présent sur nos terres. Ah... On voit vraiment que c'est l'été. Ce soleil qui brille fort dans ce ciel bleu azur, où il n'y a aucun nuage gris. Il fait chaud, et il n'y a aucune brise dans l'air. C'est la canicule ou bien... ? En ce moment même, je me promène, mais avec prudence bien sûr, évitons de ce faire choper par ses idiots de bipèdes. Après une mâtiné de chasse, un peu de repos, donc je vais me balader. A l'ombre de préférence, s'en était assez de rester au soleil toute la journée ! Je ne savais pas vraiment où aller... Alors je suivis mon instinct où va t-il bien m'emmener ? Par contre, il faut que je fasse attention à ce qu'il ne me mène pas en territoire ennemi ni dans la gueule des bipèdes. Heureusement, j'ai un assez bon odorat. Et puis, je ne me laisserais pas piéger. J'ai bien trop de chose à faire pour mon Clan. Cette odeur... Bon dieu, ça pu par ici, en plus, ça me donne envie de tousser. Je relevais ma tête. Oh... Je suis à l'usine... Des bipèdes. Suis-je bête ou... ? Pourquoi mon instinct m'a amené ici ? C'est un territoire dangereux, les bipèdes de cette usine sont réputés pour être agressif. Tss, je m'en vais tout de suite de ces lieux ! Enfin, c'est ce que je pensais... Jusqu'à que je sentis une odeur... L'odeur du Clan de la Rivière. Pas possible... Je vis un pelage noir se dessinait, cette ombre s'approcha. Comme on était dans un territoire libre, je n'ai aucune raison d'être agressive et menaçante, peace. De plus, ce chat ressemble beaucoup au lieutenant du Clan de la Rivière, Souvenir d'une Tragédie. Mais que peut elle bien faire ici ? On va sans doute bientôt le savoir... Je lui demandais, avec mon ton froid naturel et une petite pointe de curiosité :

" - Bien le bonjour, Souvenir d'une Tragédie, lieutenant du Clan de la Rivière. Que venez-vous faire ici, dans un territoire dangereux, en cette belle journée d'été ? "

Aucun bipède en vus, je m'assis, je suis épuisée de marcher. Depuis mon camp à ici, ça fait pas mal de chemin.